Les petites leçons qu'on n'attendait pas du grand Vendée Globe
Si vous habitez sur le port des Sables d'Olonne, vous devez avoir des dodos bien agités en ce moment !
Depuis quelques nuits, les bateaux reviennent héroïques d'un tour du monde pas comme les autres. Le Vendée Globe est une échappée mythique, qui fait des vagues chez les p'tits marins d'eau du bain. Et pendant que certains skippers fêtent leur victoire inattendue, d'autres fournissent les derniers efforts pour rejoindre le port. Et nous ? On a jeté l'ancre avec 7 petites leçons surprises qu'on a retenues du Vendée, comme on dit chez les vrais.
Petite leçon #1 : choisir d'aider un copain est toujours la bonne solution
Le premier skipper à franchir la ligne d'arrivée, c'est Charlie. Mais ce n'est pas Charlie qui gagne, c'est Yannick, arrivé 3ème. Pourquoi ? Parce que pendant la course, il a fait un détour pour aider un copain skipper en difficulté au milieu des vagues et BIM ! 10 heures enlevées sur le chrono général. Comme quoi, être sympa, ça vaut de l'or. Petite leçon #2 : avoir des rêves c'est encore mieux qu'avoir des sous
Damien Seguin, le champion de voile paralympique et skipper du Vendée Globe pour la première fois, est au fond de la salle pendant la conf' de presse de l'arrivée de Jean Le Cam. Il prend son micro et remercie le skipper au bagou aussi grand que sa voile pour lui avoir permis de croire en ses rêves.
"Quand j'ai eu ce rêve de faire le Vendée, forcément moi aussi je rêvais d'un bateau avec des foils, des millions et tout ça. Tu as su me faire regarder l'essentiel. Et l'essentiel, c'est avant tout un bateau qui flotte, un bateau qui arrive. Et ça, ça fait toute la différence parce qu'il y en a qui ont des millions mais qui sont chez eux à la maison et nous on est à l'arrivée !" Tout est dit ici, à partir de la 39ème minute.
Petite leçon #3 : les grands aussi ont besoin de doudous (même qu'ils font le tour du monde avec)
Y'a pas de honte à avoir un doudou, ou plusieurs doudous. Et c'est pas Jean le Cam qui vous dira le contraire. Pour cette course en solitaire, le marin a quand même embarqué 14 matelots à bord... Cette sacrée équipe ne l'a peut-être pas aidé à rafistoler la coque à l'avant de son bateau (dommage très grave et qui aurait pu lui coûter la vie), mais on est sûrs d'une chose : ils l'ont soutenu jusqu'au bout ! Présentations officielles des doudous
Petite leçon #4 : les dauphins panda existent
Les dauphins, c'est kiki. Les pandas c'est kiki aussi. Alors un dauphin panda... UN DAUPHIN PANDA.
Regardez par vous-même.
Petite leçon #5 : ne jamais déranger quelqu'un qui fait la sieste (surtout si c'est une otarie)
Samantha Davies a eu un souci pendant la course et a dû abandonner pour faire réparer son bolide flottant, bien décidée à quand même terminer la course. Son bateau à quai, la naviguatrice veut s'y rendre pour donner une interview. Manque de bol, une otarie monte la garde. On ne sait pas vous, mais nous, on préfère la laisser roupiller.
Petite leçon #6 : les poissons ont des dents
Déjà le coup des poissons volants, c'est inédit. Mais alors des poissons volants des mers du sud qui ont des dents et qui osent mordrent Jean Le Cam, c'est sacrément cocasse ! Bon... en vrai les poissons volants n'ont pas de dents. Ils ont un bec qui de toute évidence, est assez pointu. Récit de l'attaque par ici.
Petite leçon #7 : ça arrive de boire la tasse, il ne faut jamais renoncer
C'est un peu tarte à la crème mais c'est vrai. Le skipper japonais Kojiro Shiraishi en est l'exemple parfait. En 2016, c'était le premier marin japonais à participer au Vendée Globe. Autant vous dire qu'il a dû essuyer pas mal de critiques... "un peu comme si un Français allait au Japon pour devenir sumo !"*. Il avait malheureusement abandonné car son bateau avait perdu son mât. Le revoilà 4 ans plus tard, plus frais que jamais pour repartir à l'assaut du Vendée Globe. Son portrait et sa course de ce côté. *source
Depuis quelques nuits, les bateaux reviennent héroïques d'un tour du monde pas comme les autres. Le Vendée Globe est une échappée mythique, qui fait des vagues chez les p'tits marins d'eau du bain. Et pendant que certains skippers fêtent leur victoire inattendue, d'autres fournissent les derniers efforts pour rejoindre le port. Et nous ? On a jeté l'ancre avec 7 petites leçons surprises qu'on a retenues du Vendée, comme on dit chez les vrais.
Petite leçon #1 : choisir d'aider un copain est toujours la bonne solution
Le premier skipper à franchir la ligne d'arrivée, c'est Charlie. Mais ce n'est pas Charlie qui gagne, c'est Yannick, arrivé 3ème. Pourquoi ? Parce que pendant la course, il a fait un détour pour aider un copain skipper en difficulté au milieu des vagues et BIM ! 10 heures enlevées sur le chrono général. Comme quoi, être sympa, ça vaut de l'or. Petite leçon #2 : avoir des rêves c'est encore mieux qu'avoir des sous
Damien Seguin, le champion de voile paralympique et skipper du Vendée Globe pour la première fois, est au fond de la salle pendant la conf' de presse de l'arrivée de Jean Le Cam. Il prend son micro et remercie le skipper au bagou aussi grand que sa voile pour lui avoir permis de croire en ses rêves.
"Quand j'ai eu ce rêve de faire le Vendée, forcément moi aussi je rêvais d'un bateau avec des foils, des millions et tout ça. Tu as su me faire regarder l'essentiel. Et l'essentiel, c'est avant tout un bateau qui flotte, un bateau qui arrive. Et ça, ça fait toute la différence parce qu'il y en a qui ont des millions mais qui sont chez eux à la maison et nous on est à l'arrivée !" Tout est dit ici, à partir de la 39ème minute.
Petite leçon #3 : les grands aussi ont besoin de doudous (même qu'ils font le tour du monde avec)
Y'a pas de honte à avoir un doudou, ou plusieurs doudous. Et c'est pas Jean le Cam qui vous dira le contraire. Pour cette course en solitaire, le marin a quand même embarqué 14 matelots à bord... Cette sacrée équipe ne l'a peut-être pas aidé à rafistoler la coque à l'avant de son bateau (dommage très grave et qui aurait pu lui coûter la vie), mais on est sûrs d'une chose : ils l'ont soutenu jusqu'au bout ! Présentations officielles des doudous
Petite leçon #4 : les dauphins panda existent
Les dauphins, c'est kiki. Les pandas c'est kiki aussi. Alors un dauphin panda... UN DAUPHIN PANDA.
Regardez par vous-même.
Petite leçon #5 : ne jamais déranger quelqu'un qui fait la sieste (surtout si c'est une otarie)
Samantha Davies a eu un souci pendant la course et a dû abandonner pour faire réparer son bolide flottant, bien décidée à quand même terminer la course. Son bateau à quai, la naviguatrice veut s'y rendre pour donner une interview. Manque de bol, une otarie monte la garde. On ne sait pas vous, mais nous, on préfère la laisser roupiller.
Petite leçon #6 : les poissons ont des dents
Déjà le coup des poissons volants, c'est inédit. Mais alors des poissons volants des mers du sud qui ont des dents et qui osent mordrent Jean Le Cam, c'est sacrément cocasse ! Bon... en vrai les poissons volants n'ont pas de dents. Ils ont un bec qui de toute évidence, est assez pointu. Récit de l'attaque par ici.
Petite leçon #7 : ça arrive de boire la tasse, il ne faut jamais renoncer
C'est un peu tarte à la crème mais c'est vrai. Le skipper japonais Kojiro Shiraishi en est l'exemple parfait. En 2016, c'était le premier marin japonais à participer au Vendée Globe. Autant vous dire qu'il a dû essuyer pas mal de critiques... "un peu comme si un Français allait au Japon pour devenir sumo !"*. Il avait malheureusement abandonné car son bateau avait perdu son mât. Le revoilà 4 ans plus tard, plus frais que jamais pour repartir à l'assaut du Vendée Globe. Son portrait et sa course de ce côté. *source
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